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Corentin Raux (1999) co-créateur de Pretty Simple
10 août 2015
Portraits d'alumni
Corentin, présentez-nous votre société Pretty Simple.
En janvier 2010, après 3 années à développer des jeux vidéo ensemble, mon ami Bastien Cazenave et moi décidons de créer notre propre entreprise. Notre idée : créer la meilleure équipe de développeurs de jeux vidéo sociaux au monde. Les jeux vidéo sociaux ce sont les jeux auxquels vous jouez avec vos amis sur Facebook, téléphone mobile ou tablette.
Une fois la structure de Pretty Simple créée, nous avons entamé le développement d’un premier jeu à deux, chez moi, dans la cuisine. Deux levées de fonds et beaucoup d’heures de travail ont été nécessaires pour connaitre le succès que nous avons depuis le début de l’année. Aujourd’hui ce sont plus de 9 millions de joueurs uniques qui jouent tous les jours à « Criminal Case » notre jeu d’enquête policière sur Facebook.
Nous sommes une équipe de 50 personnes, nous avons annoncé un chiffre d’affaire de plus de 10 millions d’euros pour cette année et prévoyons une centaine d’embauche dans les 3 ans à venir.
Comment êtes-vous passés de Télécom ParisTech à la création de Pretty simple ?
Par bien des détours !
Après avoir été le premier incubé de France en 1999 avec un projet de société de production audiovisuelle, je suis devenu cinéaste, ma passion de l’époque. Puis j’ai tout lâché entre 2003 et 2006 pour me consacrer essentiellement à faire la fête… Lorsque mon compte en banque m’a rappelé à la réalité, j’ai repris le travail en tant que producteur de jeu vidéo.
Quelles sont les difficultés que vous avez pu rencontrer ?
La plus grosse difficulté c’est probablement la jeunesse. A 20 ans j’avais une énergie folle, assez naïve, mais je ne faisais pas ce qu’il fallait pour réussir. J’ai essuyé de nombreux échecs avant d’apprendre à me faire confiance et aller jusqu’au bout de mes projets.
Que vous ont apportées vos études à Télécom ParisTech dans votre construction professionnelle ?
A Télécom ParisTech j’ai rencontré la plupart de ceux qui sont toujours mes amis aujourd’hui et à qui je dois beaucoup dans ma construction personnelle. J’y ai également trouvé un espace de liberté pour entreprendre les projets qui me tenaient à cœur. Je suis très reconnaissant aux professeurs et à l’administration de l’école de m’avoir toujours soutenu dans mes démarches, même quand elles étaient pour le moins atypiques.
Enfin l’incubateur de Télécom m’a accueilli par deux fois, en 1999 et en 2010, toujours avec la même gentillesse, et cela m’a été d’une grande aide.
Quels sont vos projets pour la suite ?
Ce sont les gens qui travaillent à vos côté qui fabriquent les produits qui font la réussite d’une entreprise. Notre projet reste le même : recruter les meilleurs personnes pour faire de Pretty Simple une entreprise qui produit des jeux de qualité et dans laquelle il fait bon travailler.
Vos actualités ?
La sortie de « Criminal Case » sur téléphone mobile et tablette prévu pour la fin de l’année.
En janvier 2010, après 3 années à développer des jeux vidéo ensemble, mon ami Bastien Cazenave et moi décidons de créer notre propre entreprise. Notre idée : créer la meilleure équipe de développeurs de jeux vidéo sociaux au monde. Les jeux vidéo sociaux ce sont les jeux auxquels vous jouez avec vos amis sur Facebook, téléphone mobile ou tablette.
Une fois la structure de Pretty Simple créée, nous avons entamé le développement d’un premier jeu à deux, chez moi, dans la cuisine. Deux levées de fonds et beaucoup d’heures de travail ont été nécessaires pour connaitre le succès que nous avons depuis le début de l’année. Aujourd’hui ce sont plus de 9 millions de joueurs uniques qui jouent tous les jours à « Criminal Case » notre jeu d’enquête policière sur Facebook.
Nous sommes une équipe de 50 personnes, nous avons annoncé un chiffre d’affaire de plus de 10 millions d’euros pour cette année et prévoyons une centaine d’embauche dans les 3 ans à venir.
Comment êtes-vous passés de Télécom ParisTech à la création de Pretty simple ?
Par bien des détours !
Après avoir été le premier incubé de France en 1999 avec un projet de société de production audiovisuelle, je suis devenu cinéaste, ma passion de l’époque. Puis j’ai tout lâché entre 2003 et 2006 pour me consacrer essentiellement à faire la fête… Lorsque mon compte en banque m’a rappelé à la réalité, j’ai repris le travail en tant que producteur de jeu vidéo.
Quelles sont les difficultés que vous avez pu rencontrer ?
La plus grosse difficulté c’est probablement la jeunesse. A 20 ans j’avais une énergie folle, assez naïve, mais je ne faisais pas ce qu’il fallait pour réussir. J’ai essuyé de nombreux échecs avant d’apprendre à me faire confiance et aller jusqu’au bout de mes projets.
Que vous ont apportées vos études à Télécom ParisTech dans votre construction professionnelle ?
A Télécom ParisTech j’ai rencontré la plupart de ceux qui sont toujours mes amis aujourd’hui et à qui je dois beaucoup dans ma construction personnelle. J’y ai également trouvé un espace de liberté pour entreprendre les projets qui me tenaient à cœur. Je suis très reconnaissant aux professeurs et à l’administration de l’école de m’avoir toujours soutenu dans mes démarches, même quand elles étaient pour le moins atypiques.
Enfin l’incubateur de Télécom m’a accueilli par deux fois, en 1999 et en 2010, toujours avec la même gentillesse, et cela m’a été d’une grande aide.
Quels sont vos projets pour la suite ?
Ce sont les gens qui travaillent à vos côté qui fabriquent les produits qui font la réussite d’une entreprise. Notre projet reste le même : recruter les meilleurs personnes pour faire de Pretty Simple une entreprise qui produit des jeux de qualité et dans laquelle il fait bon travailler.
Vos actualités ?
La sortie de « Criminal Case » sur téléphone mobile et tablette prévu pour la fin de l’année.